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Biographie :

La pop inspirée et énergique des Stereophonics portée par la voix singulière Kelly Jones a laissé à toute personne ayant fréquenté le lycée dans les 90's un souvenir mémorable. En effet, de « Words Gets Around », qui a enflammé les foules en 1997, à « Language. Sex. Violence. Other ? », leur dernier album en date, Sterephonics s'est imposé comme l'un des groupes de pop les plus créatifs de leur génération.

C'est au Pays de Galles, à Cwmaman plus exactement, que Kelly Jones (chant et guitare), Richard Jones (basse) et Stuart Cable (batterie) fondent les Stereophonics. Stuart et Kelly sont potes depuis l'enfance tandis que Richard est un camarade de classe de Kelly. Les trois garçons dans le vent décident d'appeler leur groupe « Tragic Love Company » et commencent à faire leurs classes sur scène. Mais pour le moment, le succès n'est pas vraiment au rendez-vous. La roue tourne lorsque le groupe décide de troquer « Tragic Love Company » contre « Stereophonics ». A partir de ce moment là, le trio va enchaîner une signature de contrat avec le label V2, des premières parties de luxe (ils font l'ouverture des concerts de The Who et des Manic Street Preachers), et l'enregistrement d'un premier album en 1997, « Word Gets Around », qui fait un carton dès sa sortie.

Après avoir écumé les plus grands festivals et salles de concerts européens, Stereophonics repart en studio et publie en 1999 « Performance And Coktails » qui campe en tête des charts britanniques d'entrée de jeu. Deux ans après, les Stereophonics remettent le couvert avec un troisième opus, « Just Enought Education To Perform », et une fois de plus, l'album se vend en masse. On retrouve ensuite Stereophonics sur la bande originale de « I Am Sam », puis en première partie de U2.

En 2003, les Stereophonics sortent une nouvelle galette, « You Gotta Go There To Come Back » qui fait sensation grâce au hit « Maybe Tomorrow ». Mais le batteur Stuart Cable quitte la formation, hostile à la tournure commerciale que prend Stereophonics. Il est remplacé par Javier Weyler. Deux ans plus tard, le groupe est de retour dans les bacs avec « Language. Sex. Violence. Other ? » (le titre vient en partie du code de classification utilisé pour les DVD's), un nouvel opus plus pêchu que les précédents disques, dont le hit « Dakota » a déjà fait beaucoup parler de lui.

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